"Liberté d'insulter, de blesser, n'est pas liberté d'expression."

Le titre est explicite mais les médias, ainsi que la majorité des gens, ne le comprennent pas ou feignent de ne pas le comprendre.

En effet, le traitement de la liberté d'expression par ceux-ci diffère selon la personne et le sujet traité.

Charlie Hebdo - dont l'existence mais surtout la tragédie a été récupérée avec fulgurance, et c'est une réalité, par les sionistes - est alors autorisé à blasphémer et à douloureusement porter atteinte à ce que des milliards de musulmans considèrent comme profondément sacré, sans être taxé d'islamophobie. Pour les musulmans, la caricature offensante du prophète n'est pas chose anodine. Je vous passe les raisons, elles sont évidentes. D'ailleurs, l'insulte ou l'irrespect ne fait le bonheur de personne. Il est alors logique de recevoir des mécontentements sous diverses formes, en réponse à de la violence sous couvert de la libre expression satirique. Insultez votre voisin obèse de "gros porc" constamment, sans raisons ni buts et vous verrez où vous irez... Difficile il devrait vous être de faire l'étonné en vous ramassant une patate. Et pourtant, vous le ferez. L'acte physique ne fait pourtant pas seule la violence.

Quant à Dieudonné, il ne peut nullement traiter des problèmes liées au talmudo-sionisme, notamment, sans se voir attaqué en justice pour antisémitisme et se voir sali par ces derniers à travers les médias.

Concernant ce lobby sioniste, je ne me fais pas d'illusion. Cela n'est pas à eux de saisir cette contradiction puisqu'il la propose. La liberté d'expression du premier les arrange tandis que celle du second les dérange. On sait qui régit cette liberté. Il crée la tendance. A la majorité de la population lobotomisée néanmoins de saisir les contradictions qui lui sont proposées et qu'elle porte ensuite beeeeeeeehtement.

La liberté d'expression, logiquement, c'est :

- Soit la libre expression totale et pour tous. Il faut donc s'attendre à de la violence aussi bien sous formes d'attaques mais aussi de réponses. Ce qui est le cas.

- Soit la libre expression mais dans un cadre régit par la loi et qui est la même pour tous. Ce qui n'est pas le cas, pour la raison énoncée un peu plus tôt.

On ne peut pas faire de mélange.

En attendant, la liberté d'expression dont on nous parle tant n'existe pas. Ne rêvez pas. Ici, tout nous montre qu'il s'agit uniquement d'autorisation d'expression. Le point déterminant de ce problème est donc celui des réseaux actuellement au pouvoir. Et en principe, une autorisation ne s'accordant pas si cette autorisation risque la mise en danger des intérêts de celui qui autorise, on découvre ainsi la réalité idéologique de ces censeurs décadents au pouvoir ayant pour points communs sionisme et islamophobie - en plus d'autres points encore plus sales.

Netanyahou te répond petite ! - Source : Les dessins de la semaine, du site http://www.egaliteetreconciliation.fr